Pour la 7e année consécutive des entreprises internationales, membres de l'ANRT, qui effectuent une partie de leur recherche en France ont accepté de calculer puis de communiquer à l'ANRT les coûts de revient comparés de leurs chercheurs (compte tenu des aides directes et fiscales) dans les pays où ils investissent en recherche.
L'année 2016 est marquée par la consolidation de la compétitivité française en R&D industrielle. Consolidation d'autant plus remarquable qu'une convergence des cours vers le « standard français » se fait jour. En atteste notamment l'accession de la Chine à la cour des grands de la R&D. Avec pour elle, un nouveau défi : attirer et tenter de conserver les meilleurs chercheurs.Le message aux décideurs français est simple : la concurrence des politiques publiques pour attirer et conserver les activités de R&D est plus forte que jamais ; pour consolider son statut de hub de la R&D industrielle, le meilleur atout de la France est le maintien du crédit d'impôt recherche dans sa forme actuelle. Grâce à son coût maîtrisé, sa stabilité est gage de compétitivité.
A voir, la vidéo BFM Business en replay : Pierre Bitard répondait le 30/10 aux questions du journaliste Stéphane Soumier sur les résultats de la septième Comparaison internationale sur le cours du chercheur ANRT CIR.
Légende visuel : Graphique – La France maintient sous la pression son attractivité internationale
