A l'occasion de la présentation du livre blanc de l'ANRT Pour une politique industrielle du numérique , en partenariat avec l'Académie des Technologies, les grands témoins ont attiré un public nombreux contribuant, à l'issue des présentations, à un débat de haut-niveau et quelques challenges audacieux entre intervenants et auditeurs.
En introduction, Gérard ROUCAIROL (Académie de Technologies) a rappelé les fondements de l'établissement d'une telle politique. Il a ensuite défendu les pistes d'action découlant du travail du groupe d'experts réuni par FutuRIS ANRT.
Pour Cédric O, Conseiller du Président de la République « Participations publiques et économie numérique », la compétition mondiale actuelle passe par une « course à l'innovation ». Laquelle contraint de fait la capacité d'action des politiques publiques. L'Etat français joue son rôle. Il en appelle toutefois à la responsabilité des écosystèmes de recherche et d'innovation ; leur dynamique prime, qui suppose les initiatives combinées de ses composantes nécessairement variées : collectivités locales, établissements publics de recherche, grandes entreprises et moins grandes, et startups.
A travers une revue synthétique des initiatives européennes en matière de soutien à la recherche et à l'innovation dans le numérique, Thomas SKORDAS, Directeur « Excellence et infrastructures scientifiques » de la DG CONNECT à la Commission Européenne, a souligné la communauté de vue avec l'analyse et les propositions du Livre Blanc. Du semi-conducteur aux capacités et applications de calcul de haute-puissance, dont l'intelligence artificielle, la France reste l'un des Etats membres les plus performants et actifs.
La convergence des intérêts à l'échelle européenne s'avère un prérequis indispensable à une stratégie industrielle efficace pour les écosystèmes français du numérique. Cette congruence est vitale pour Jean-Marie SIMON, Directeur Général d'ATOS France. Les conditions cadres, règlementaires et institutionnelles, doivent induire des comportements vertueux économiquement en matière de production, de diffusion, de partage et d'usage des données. Et ce en accord avec les chaînes de valeur concernées : pour la mobilité comme pour l'énergie, pour le bancaire comme pour l'éducation, pour la chimie comme pour la défense. Les plateformes numériques B2B ad hoc, soutenues par des technologies ATOS, se mettent progressivement en place, qui nécessitent très haute-puissance de calcul et développements applicatifs innovants.
Pour Cédric O, Conseiller du Président de la République « Participations publiques et économie numérique », la compétition mondiale actuelle passe par une « course à l'innovation ». Laquelle contraint de fait la capacité d'action des politiques publiques. L'Etat français joue son rôle. Il en appelle toutefois à la responsabilité des écosystèmes de recherche et d'innovation ; leur dynamique prime, qui suppose les initiatives combinées de ses composantes nécessairement variées : collectivités locales, établissements publics de recherche, grandes entreprises et moins grandes, et startups.
A travers une revue synthétique des initiatives européennes en matière de soutien à la recherche et à l'innovation dans le numérique, Thomas SKORDAS, Directeur « Excellence et infrastructures scientifiques » de la DG CONNECT à la Commission Européenne, a souligné la communauté de vue avec l'analyse et les propositions du Livre Blanc. Du semi-conducteur aux capacités et applications de calcul de haute-puissance, dont l'intelligence artificielle, la France reste l'un des Etats membres les plus performants et actifs.
La convergence des intérêts à l'échelle européenne s'avère un prérequis indispensable à une stratégie industrielle efficace pour les écosystèmes français du numérique. Cette congruence est vitale pour Jean-Marie SIMON, Directeur Général d'ATOS France. Les conditions cadres, règlementaires et institutionnelles, doivent induire des comportements vertueux économiquement en matière de production, de diffusion, de partage et d'usage des données. Et ce en accord avec les chaînes de valeur concernées : pour la mobilité comme pour l'énergie, pour le bancaire comme pour l'éducation, pour la chimie comme pour la défense. Les plateformes numériques B2B ad hoc, soutenues par des technologies ATOS, se mettent progressivement en place, qui nécessitent très haute-puissance de calcul et développements applicatifs innovants.
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